Scrignac, chapelle de Koat Kéo, gisant d'un prêtre assasiné pendant la Révolution Photographie : Christine Le Moigne-Simonis 3 Scrignac, en 1939, ne ressemblait en rien au village propret qu'on traverse aujourd'hui sans même songer à s'arrêter. À une...
Bretagne, le chemin creux; photographie : Christine Le Moigne-Simonis Que savez-vous des plaines bleues et des talus précaires où novembre referme ses ailes de corbeau Le soleil en passant dans l'axe des vieux chênes a des reflets de forge Ainsi habitons-nous...
La vague, photographie : Christine Le Moigne-Simonis Fragile élan qui guide mes pensées vers la vasque brisée la buse un instant suspendue a plongé sur les chaumes enfant déjà j'avais la nostalgie des premières gelées José Le Moigne Plourarc'h 19 octobre...
CDI InfoActu Edition du 11/10/2010 Semaine du créole - ASCODELA : programme du club de lecture - Ressources - L’info administrative Article mis en ligne le 10 octobre 2010, par CDI Imprimer l'article SEMAINE DU CRÉOLE La cérémonie d’ouverture officielle...
Plestin lesGrèves, une porte, photographie : Christine Le Moigne-Simonis Le baptême des pierres « Badezant ar vein », « Le baptême des pierres », est d’abord un projet éditorial : montrer, ou plutôt approcher, en passant par la photographie et la poésie,...
Brest, sur le quai, photographie : Christine Le Moigne-Simonis Chaque jour 8 octobre 2010 à heure fixe la mer remonte des abysses pour donner à la terre des raisons d'espérer avant les mortes eaux José Le Moigne Plourarc'h
Avec les frères Morvan, Carnoët, août 2008, Photographie : Christine Le Moigne-Simonis Au bout de la jetée à l'instant où les vagues bousculent la marée je livre au petit jour mon pas lourd de guetteur enfiévré d'insomnie mon âme grise couturée de lianes...
Bretagne, Scrignac, porte de la chapelle de Coat Keo, photographies : Christine Le Moigne-Simonis Final de compte je hais la poésie boursouflée et obscène qui fait des ronds de jambe et danse le menuets sur nos batailles quotidiennes Je préfère les sreamers...
Marée basse, photographie : Christine Le Moigne-Simonis 2 Au fond, tout ça sentait l'amateurisme. Seuls les Bagadoù Stourm avaient joué leur partition sans trop de fausses notes. Les autres, aussi géniaux qu’ils se prenaient, avaient oublié cette maxime...